Etienne Marie Joseph « Marius » PORTALISÂge : 52 ans1791–1844
- Nom
- Etienne Marie Joseph « Marius » PORTALIS
- Prénom(s)
- Etienne Marie Joseph
- Surnom
- Marius
- Nom de famille
- PORTALIS
Naissance | 8 décembre 1791 45 39 Détails de la citation : BMS La Cadière, registre en ligne 7 E 29/13 Note : La commune de St-Cyr-sur-mer se sépare de la commune de La Cadière en 1825. Les Pradeaux appartiennent donc à la commune de la Cadière jusqu'à cette date. |
Baptême religieux | 9 décembre 1791 (Âge 1 jour) Détails de la citation : BMS La Cadière, registre 7 E 29/13 |
Décès du père | Jean Etienne Marie PORTALIS 25 août 1807 (Âge 15 ans) Détails de la citation : Fichier alphabétique des actes reconstitués, registre V3E/D 1220 Note : Inhumé au Panthéon (caveau V) |
Décès de la mère | Marguerite, Françoise SIMEON 25 août 1813 (Âge 21 ans) Détails de la citation : Registre E_NUM_GEN_225 Texte : ... est décédée en la principale maison de campagne de cette commune appartenant à Monsieur le Comte Portalis son fils ainé ... |
Profession | Conseiller d'état, officier de cavalerie, consul général au Vénézuela, à Caracas Note : Second fils de J. E. Portalis, frère de Joseph Marie.
Auditeur près le ministre et la section de l'intérieur le 12 février 1809, il n'a pas accès aux séances du Conseil présidées par l'Empereur. Auditeur en service ordinaire près le ministre et la section de l'intérieur en 1810. Il poursuit sa carrière au Conseil d'etat malgré l'éclatante disgrâce de son frère conseiller d'Etat. Auditeur de seconde classe, près l'administration des ponts et chaussées en 1811.
Auditeur de première classe en service ordinaire près du ministre et de la section de l'intérieur en 1812 et 1813, il peut assister aux séances du Conseil présidées par l'Empereur.
Il est également auditeur à la commission des pétitions en 1813.
Il démissionne du Conseil d'Etat pour être nommé sous-lieutenant de chasseurs à cheval en 1813.
Sources:
http://www.napoleonica.org / |
Distinction | Officier de la Légion d'Honneur Note : Ne figure pas dans la base Leonore ? |
Décès | 1844 (Âge 52 ans) Note : Cf : souvenirs d'Adrienne Portalis |
Tâche à faire | Décès, profession 2 mars 2014par : Alain Note : Voir aux archives du MEA, le dossier de Marius |
Famille avec les parents |
père |
Jean Etienne Marie PORTALIS Naissance : 1 avril 1746 36 20 — , Le Beausset, 83330, Var, FRANCE Décès : 25 août 1807 — , Paris, 75, Paris, FRANCE |
mère |
Marguerite, Françoise SIMEON Naissance : 24 février 1752 34 32 — , Aix en Provence, 13100, Bouches-du-Rhône, FRANCE Décès : 25 août 1813 — , Gennevilliers, 92230, Hauts de Seine, FRANCE |
Mariage : 8 août 1775 — , Le Beausset, 83330, Var, FRANCE |
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3 ans frère plus âgé |
Joseph Marie, « Charles » comte PORTALIS Naissance : 19 février 1778 31 25 — Rue de l'Opéra, Aix en Provence, 13100, Bouches-du-Rhône, FRANCE Décès : 5 août 1858 — 60 rue de la Tour, Paris, 75016, Paris, FRANCE |
3 ans sœur plus âgée |
Emilie, « Sextia » PORTALIS Naissance : 21 octobre 1780 34 28 — , Aix en Provence, 13100, Bouches-du-Rhône, FRANCE Décès : 25 janvier 1783 — , Aix en Provence, 13100, Bouches-du-Rhône, FRANCE |
11 ans lui |
Etienne Marie Joseph « Marius » PORTALIS Naissance : 8 décembre 1791 45 39 — Les Pradeaux, St Cyr sur Mer, 83270, Var, FRANCE Décès : 1844 — , La Guaira, , , VENEZUELA |
Naissance | AD83 - Acte de naissance d'Etienne Marie Joseph Portalis - 1791 Détails de la citation : BMS La Cadière, registre en ligne 7 E 29/13 |
Baptême religieux | AD83 - Acte de naissance d'Etienne Marie Joseph Portalis Détails de la citation : BMS La Cadière, registre 7 E 29/13 |
Naissance | La commune de St-Cyr-sur-mer se sépare de la commune de La Cadière en 1825. Les Pradeaux appartiennent donc à la commune de la Cadière jusqu'à cette date. |
Profession | Second fils de J. E. Portalis, frère de Joseph Marie.
Auditeur près le ministre et la section de l'intérieur le 12 février 1809, il n'a pas accès aux séances du Conseil présidées par l'Empereur. Auditeur en service ordinaire près le ministre et la section de l'intérieur en 1810. Il poursuit sa carrière au Conseil d'etat malgré l'éclatante disgrâce de son frère conseiller d'Etat. Auditeur de seconde classe, près l'administration des ponts et chaussées en 1811.
Auditeur de première classe en service ordinaire près du ministre et de la section de l'intérieur en 1812 et 1813, il peut assister aux séances du Conseil présidées par l'Empereur.
Il est également auditeur à la commission des pétitions en 1813.
Il démissionne du Conseil d'Etat pour être nommé sous-lieutenant de chasseurs à cheval en 1813.
Sources:
http://www.napoleonica.org / |
Distinction | Ne figure pas dans la base Leonore ? |
Décès | Cf : souvenirs d'Adrienne Portalis |
Note partagée | Souvenirs manuscrits d'Adrienne Mounier conservés aux Pradeaux, transcrits par Bruno Bizalion :
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En 1787 (en fait en 1791), Mme Portalis accoucha aux Pradeaux d'un fils, Marius, qui fut un grand malheur pour sa famille, sans autre défaut que de la légèreté et de la faiblesse. Il avait 20 ans à la mort de son père, et était officier dans un régiment de cavalerie. Il avait fait des dettes, souscrit des billets qu'il reconnut à peu près tous à sa majorité.
On paya ce qu'on put, vendant, se dépouillant sans pouvoir tout combler. C'est ainsi que disparut cette charmante propriété de Gennevilliers, dont Portalis, alors Ministre des Cultes, fit un jour cadeau à sa belle-fille ( Ina Holk. ndt ) Elle avait appartenu à Mme de Vaudreuil : Marie-Antoinette y était allée. On y voyait encore un bosquet où on lui avait servi une collation.
Mon beau-père (Joseph Marie Portalis) me racontait comment son frère avait eu à faire à d'horribles usuriers, ou débiteurs, dont l'un d'eux lui avait donné en paiement 12 douzaines de cercueils.
Le jeune Marius dut s'expatrier, changer de nom. Il resta 30 ans à l'étranger, s'appelant M. Etienne de la Palun. Il en est revenu deux ou trois fois, se cachant, ne sortant que le soir.
Je l'ai vu : il était fort bel homme, doux, aimable, aigri et malheureux. Nous avons son portrait peint à Genève par Henry Scheffer. Mon pauvre mari lui ressemblait étonnamment de figure. Le temps de son exil étant fini, il pouvait revenir sans crainte, et quittait Caracas où il était consul, lorsqu'au moment où il s'embarquait à La Guaira, il fut frappé d'apoplexie. Triste vie ! Triste fin ! Mais tout cela a été dit ailleurs et je me suis laissée maladroitement et inutilement entraîner bien loin des Pradeaux.
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Adrienne Mounier, vicomtesse Portalis, 1878 |
Tâche à faire | Voir aux archives du MEA, le dossier de Marius |