Généalogie de la famille Portalis

Ina Holck et ses enfants

Frédéric, Etienne, Auguste, vicomte PORTALISÂge : 42 ans18041846

Nom
Frédéric, Etienne, Auguste, vicomte PORTALIS
Prénom(s)
Frédéric, Etienne, Auguste
Nom de famille
vicomte PORTALIS
Naissance 13 avril 1804 26 19
Décès du grand-père paternelJean Etienne Marie PORTALIS
25 août 1807 (Âge 3 ans)
Détails de la citation : Fichier alphabétique des actes reconstitués, registre V3E/D 1220
Note : Inhumé au Panthéon (caveau V)
Naissance d’un frèreHarold, Jean-Baptiste PORTALIS
2 août 1810 (Âge 6 ans)
Naissance d’une sœurMarie Julie Calixte PORTALIS
15 octobre 1811 (Âge 7 ans)
Détails de la citation : BMS La Cadière, registre 7 E 29/19
Décès d’une sœurMarie Julie Calixte PORTALIS
après 8 juin 1812 (Âge 8 ans)

Note :
Marie Julie Calixte figure dans le testament de sa grand mère Marguerite Françoise Siméon daté du 8 juin 1812. Vu: Décès 1812-1822 La Cadière.
Décès de la grand-mère paternelleMarguerite, Françoise SIMEON
25 août 1813 (Âge 9 ans)
Détails de la citation : Registre E_NUM_GEN_225
Texte :
... est décédée en la principale maison de campagne de cette commune appartenant à Monsieur le Comte Portalis son fils ainé ...
Naissance d’un frèreJoseph, Ernest PORTALIS
17 octobre 1816 (Âge 12 ans)
Détails de la citation : Fichier alphabétique des actes reconstitués, registre V3E/N 1848
Naissance d’un frèreJules, Joseph PORTALIS
28 janvier 1822 (Âge 17 ans)
Détails de la citation : Fichiers alphabétiques des actes reconstitués, V3E/N 1848
Texte :
(ancien arrondissement)
MariagePhilippine, Renée, Adrienne MOUNIERAfficher cette famille
11 décembre 1828 (Âge 24 ans)
Détails de la citation : Fonds 24 France 1800-1910
Texte :
Le lieu n'est pas précisé. La mention Comte Siméon peut elle désigner un des enfants de Joseph-Jérome ?
Naissance d’un fils
#1
Etienne, Guillaume, Charles, comte PORTALIS
21 octobre 1829 (Âge 25 ans)
Naissance d’un fils
#2
Edouard, Fréderic, Joseph PORTALIS
27 mars 1832 (Âge 27 ans)
Profession
Avocat, puis magistrat, juge au tribunal de 1° instance de la Seine. Conseiller à la Cour d'Appel de Paris

Note :
Carrière : Juge auditeur (Seine) le 28/12/1827 Conseiller auditeur (Paris) la 06/08/1828 Juge (Seine) le 27/04/1833 Conseiller (Paris) le 08/03/1839 OBSERVATIONS : Conseiller de la Chambre temporaire créée par ordonnance du 20/8/1843. Remplacé le 22/12/1846 Source : Annuaire rétrospectif de la magistrature XIXe-XXe siècles (Jean-Claude Farcy)
Député
Député à l'Assemblée Nationale

Note :
Député de 1835 à 1837, et en 1846, fils du comte Joseph-Marie Portalis (1778-1856), Etienne Frédéric Auguste Portalis étudia le droit et se fit recevoir avocat. Il plaida quelque temps avec talent, puis il entra dans la magistrature. Elu, le 10 janvier 1835, député du 2e collège du Var (Toulon), par 125 voix (217 votants, 283 inscrits), contre 89 à M. de Pontevès, il siégea au centre droit, vota avec la majorité conservatrice, ne fut pas réélu en 1837, échoua encore le 2 mars 1839, avec 111 voix contre 162 à l'élu, M. Denis, puis, le 9 juillet 1842, avec 43 voix contre 175 au député sortant, M. Denis, et 96 à M. Sala. Il ne regagna son siège que le 1er août 1846, avec 184 voix (357 votants, 423 inscrits), contre 132 à M. Denis, mais il mourut presque aussitôt (29 août 1846). Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny) Conseiller général
Événement
Publications

Note : On lui doit une édition des Discours et rapports de son grand-père.
Baptême d’un filsEdouard, Fréderic, Joseph PORTALIS
27 mars 1832 (Âge 27 ans)
Adresse : Eglise paroissiale St-Paul-St-Louis
Naissance d’une fille
#3
Wilhelmine, Julie, Adrienne, Albertine PORTALIS
22 octobre 1834 (Âge 30 ans)
Note : Ancien arrondissement de Paris
Décès de la mèreFrederikke Ernestine « Ina » HOLCK
2 septembre 1838 (Âge 34 ans)
Adresse : Passy
Détails de la citation : V3E/D 394
Naissance d’un fils
#4
baron Conrad Philippe Rodolphe PORTALIS
28 mai 1840 (Âge 36 ans)
Publication : http://www.culture.gouv.fr/documentation/leonore/leonore.htm
Détails de la citation : Base Leonore, dossier Conrad Portalis
Baptême d’un filsbaron Conrad Philippe Rodolphe PORTALIS
3 juin 1840 (Âge 36 ans)
Adresse : Notre Dame de Passy
Publication : http://www.culture.gouv.fr/documentation/leonore/leonore.htm
Détails de la citation : Base Leonore, dossier Conrad Portalis
Décès 30 août 1846 (Âge 42 ans)
Détails de la citation : Fichier alphabétique des actes reconstitués, registre V3E/D 1220
Titre
Vicomte

Note : Titre d'usage
Famille avec les parents - Afficher cette famille
père
mère
Mariage : 9 mai 1801, Königsbrück, 14 6 25 270, Saxe, ALLEMAGNE
2 ans
sœur plus âgée
9 mois
lui
6 ans
frère plus jeune
14 mois
sœur plus jeune
Marie Julie Calixte PORTALIS
Naissance : 15 octobre 1811 33 26, La Cadière d'Azur, 83740, Var, FRANCE
Décès : après 8 juin 1812
5 ans
frère plus jeune
5 ans
frère plus jeune
Famille avec Philippine, Renée, Adrienne MOUNIER - Afficher cette famille
lui
épouse
Mariage : 11 décembre 1828, Paris 16, 75016, Paris, FRANCE
10 mois
fils
2 ans
fils
3 ans
fille
6 ans
fils

MariageFonds Coutot, relevé du mariage Portalis-Mounier
Détails de la citation : Fonds 24 France 1800-1910
Texte :
Le lieu n'est pas précisé. La mention Comte Siméon peut elle désigner un des enfants de Joseph-Jérome ?
DécèsAD75 - Acte de décès de Frédéric Etienne Portalis
Détails de la citation : Fichier alphabétique des actes reconstitués, registre V3E/D 1220
Profession
Carrière : Juge auditeur (Seine) le 28/12/1827 Conseiller auditeur (Paris) la 06/08/1828 Juge (Seine) le 27/04/1833 Conseiller (Paris) le 08/03/1839 OBSERVATIONS : Conseiller de la Chambre temporaire créée par ordonnance du 20/8/1843. Remplacé le 22/12/1846 Source : Annuaire rétrospectif de la magistrature XIXe-XXe siècles (Jean-Claude Farcy)
Député
Député de 1835 à 1837, et en 1846, fils du comte Joseph-Marie Portalis (1778-1856), Etienne Frédéric Auguste Portalis étudia le droit et se fit recevoir avocat. Il plaida quelque temps avec talent, puis il entra dans la magistrature. Elu, le 10 janvier 1835, député du 2e collège du Var (Toulon), par 125 voix (217 votants, 283 inscrits), contre 89 à M. de Pontevès, il siégea au centre droit, vota avec la majorité conservatrice, ne fut pas réélu en 1837, échoua encore le 2 mars 1839, avec 111 voix contre 162 à l'élu, M. Denis, puis, le 9 juillet 1842, avec 43 voix contre 175 au député sortant, M. Denis, et 96 à M. Sala. Il ne regagna son siège que le 1er août 1846, avec 184 voix (357 votants, 423 inscrits), contre 132 à M. Denis, mais il mourut presque aussitôt (29 août 1846). Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny) Conseiller général
Événement
On lui doit une édition des Discours et rapports de son grand-père.
Titre
Titre d'usage
Note
Extrait (chapitre VI) de René Merle, Inventaire du texte provençal de la région toulonnaise, de la pré-Révolution à la Seconde République, G.R.A.I.C.H.S., La Seyne,1986, pp. 185-209 Les conditions de la vie politique officielle font que les hommes politiques, dans leurs campagnes électorales, n'ont nul besoin de s'adresser aux masses populaires dans leur langue habituelle : seuls en effet votent les plus riches. Ainsi, en 1846, trois cents électeurs sont concernés par la bataille entre Denis et Portalis dans la circonscription de Toulon extra-muros. Traditionnellement, cette circonscription élit A. Denis, le maire d'Hyères, que nous avons déjà rencontré en 1829-30, jeune journaliste libéral. Denis est le député officiel depuis 1837, mais en 1846 le gouvernement Guizot lui retire son appui pour l'accorder au conservateur Portalis, jusque-là soutenu par les légitimistes et les catholiquesnon ralliés. Portalis, héritier d'une vieille et célèbre famille de parlementaires aixois (originaire du Beausset), qui fréquente les allées du pouvoir depuis Napoléon, bénéficie ainsi d'une orientation plus à droite du gouvernement. Il rassure plus que Denis, dont les vieilles tendances anti-cléricales sont encore vivaces, et il est élu. Mais il meurt aussitôt et il faut revoter. Le candidat officiel est alors Ernest de Portalis, frère du défunt, qui l'emporte par 191 voix sur Denis, 165 voix, et Sala, royaliste populaire, 14 voix. Mais l'originalité de l'élection a été l'entrée en lice d'un candidat Saint-Simonien, Charles Duveyrier, qui obtient 3 voix ! Duveyrier, totalement étranger à la région, est parachuté de Paris sur les conseils de Louis Jourdan, que nous avons rencontré jeune journaliste du libéral Aviso en 1829. Depuis, il a été journaliste enGrèce et en Algérie, où il devient l'ami du saint-simonien Enfantin. Il est difficile de préciser les raisons de la candidature Duveyrier : sans doute Jourdan, le Toulonnais de Paris (il a alors 37 ans et a passé l'âge des lubies adolescentes), a-t-il senti dans l'électorat, et plus largement dans l'opinion, une certaine lassitude de l'affrontement traditionnel conservateurs-libéraux officiels, dont la candidature Sala est à sa façon un indice. .../... Et voici que ce Parisien de Jourdan lance des chroniques patoises qu'il signe Bourtoulaïgo (le pourpier en provençal, mot équivoque : en manger signifie faire maigre chère, et boire comme lui, toujours altéré, être ivrogne). .../... Le zèle du préfet en faveur de la candidature Portalis ayant été excessif, l'élection est cassée : les mêmes se retrouvent en lice. Portalis est élu avec 232 voix, Denis a 137 voix, Sala 1 et Duveyrier monte à 27 ! Mais cette fois, les conservateurs pris à contre-pied anticipent sur l'offensive Bourtoulaïgo, et l'on peut lire dans Le Toulonnais des chroniques provençales. Peut-être a-t-on utilisé la plume de Terrin, rencontré aux côtés des libéraux de 1830, mais aussi lié, pour des raisons complexes, au "clan" Portalis : n'oublions pas que les légitimistes (carlistes) et les républicains méridionaux ont pratiqué, dans les années 30, l'union sacrée sans concessions idéologiques contre les candidatures officielles hégémoniques dans le système censitaire. (Portalis fera de Terrin le secrétaire de la Mairie de Toulon en 1847.) Le dialogue du Toulonnais met en scène deux ménagers du Pradet, dont l'un n'a pas été insensible aux thèses de Bourtoulaïgo, signe d'un impact populaire évident.
Note
Portalis Etienne-Frédéric-Auguste, député de 1835 à 1837, et en 1846, fils du comte Joseph-Marie Portalis (v. plus haut), né à Berlin (Prusse) le 13 avril 1804, mort à Passy (Seine) le 29 août 1846, étudia le droit et se fit recevoir avocat. Il plaida quelque temps avec talent, puis il entra dans la magistrature. Elu, le 10 janvier 1835, député du 2° collège du Var (Toulon), par 125 voix (217 votants, 283 inscrits), contre 89 à M. de Pontevès, il siégea au centre droit, vota avec la majorité conservatrice, ne fut pas réélu en 1837, échoua encore, le 2 mars 1839, avec 111 voix contre 162 à l'élu, M. Denis, puis, le 9 juillet 1842, avec 43 voix contre 175 au député sortant, M. Denis, et 96 à M. Sala, et ne regagna son siège que le 1er août 1846, avec 184 voix (357 votants, 423 inscrits), contre 132 à M. Denis. Mais il mourut presque aussitôt (29 août 1846). Il était juge au tribunal de première instance de la Seine. On lui doit une édition des "Discours et rapports" de son grand-père. Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (A.Robert et G.Cougny)
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