Philippine, Renée, Adrienne MOUNIERÂge : 79 ans1811–1891
- Nom
- Philippine, Renée, Adrienne MOUNIER
- Prénom(s)
- Philippine, Renée, Adrienne
- Nom de famille
- MOUNIER
Naissance | 11 octobre 1811 26 22 |
Naissance d’une sœur | Victorine Louise Albertine MOUNIER 22 septembre 1814 (Âge 2 ans) Note : Acte de décès : "...née à Paris ...." |
Naissance d’un frère | Jean Joseph Philippe Louis Edouard MOUNIER 30 octobre 1820 (Âge 9 ans) Adresse : Dans le 10 eme, ancien arrondissement |
Naissance d’une sœur | Caroline, Victorine, Adrienne, Louise MOUNIER 13 août 1823 (Âge 11 ans) Détails de la citation : Registre des actes reconstitués, V3E/N-1673 |
Mariage | Frédéric, Etienne, Auguste, vicomte PORTALIS — Afficher cette famille 11 décembre 1828 (Âge 17 ans) Témoin : Joseph-Jérome SIMEON — grand-oncle — mari → grand-oncle Détails de la citation : Fonds 24 France 1800-1910 Texte : Le lieu n'est pas précisé.
La mention Comte Siméon peut elle désigner un des enfants de Joseph-Jérome ? |
Naissance d’un fils #1 | Etienne, Guillaume, Charles, comte PORTALIS 21 octobre 1829 (Âge 18 ans) |
Naissance d’un fils #2 | Edouard, Fréderic, Joseph PORTALIS 27 mars 1832 (Âge 20 ans) |
Baptême d’un fils | Edouard, Fréderic, Joseph PORTALIS 27 mars 1832 (Âge 20 ans) Adresse : Eglise paroissiale St-Paul-St-Louis Parrain : Edouard, Claude, Philippe MOUNIER — grand-père maternel Marraine : Frederikke Ernestine « Ina » HOLCK — grand-mère paternelle |
Naissance d’une fille #3 | Wilhelmine, Julie, Adrienne, Albertine PORTALIS 22 octobre 1834 (Âge 23 ans) Note : Ancien arrondissement de Paris |
Naissance d’un fils #4 | baron Conrad Philippe Rodolphe PORTALIS 28 mai 1840 (Âge 28 ans) Publication : http://www.culture.gouv.fr/documentation/leonore/leonore.htm Détails de la citation : Base Leonore, dossier Conrad Portalis |
Baptême d’un fils | baron Conrad Philippe Rodolphe PORTALIS 3 juin 1840 (Âge 28 ans) Adresse : Notre Dame de Passy Publication : http://www.culture.gouv.fr/documentation/leonore/leonore.htm Détails de la citation : Base Leonore, dossier Conrad Portalis |
Décès du père | Edouard, Claude, Philippe MOUNIER 11 mai 1843 (Âge 31 ans) Détails de la citation : V3E/D 1098 |
Décès d’un époux/épouse | Frédéric, Etienne, Auguste, vicomte PORTALIS 30 août 1846 (Âge 34 ans) Détails de la citation : Fichier alphabétique des actes reconstitués, registre V3E/D 1220 |
Domicile | 1859 (Âge 47 ans) Note : Adresse lors de la vente d'une maison à Aix rue de l'Opéra |
Mariage d’un enfant | Victor, Marc, Henri DELACOUR — Wilhelmine, Julie, Adrienne, Albertine PORTALIS — Afficher cette famille 17 janvier 1860 (Âge 48 ans) |
Décès d’une sœur | Victorine Louise Albertine MOUNIER 4 décembre 1860 (Âge 49 ans) Adresse : Rue du Centre, n°4 Détails de la citation : BMS 8ème arrt., registre V4E 872 |
Mariage d’un enfant | Edouard, Fréderic, Joseph PORTALIS — Alice, Caroline de BONNECHOSE — Afficher cette famille 14 mai 1867 (Âge 55 ans) |
Mariage d’un enfant | Etienne, Guillaume, Charles, comte PORTALIS — Jeanne, Marie, Louise, Clémentine MOUNIER — Afficher cette famille 25 avril 1870 (Âge 58 ans) |
Mariage d’un enfant | baron Conrad Philippe Rodolphe PORTALIS — Julie, Marie, Caroline, Wilhelmine ANGLÈS — Afficher cette famille 4 août 1870 (Âge 58 ans) Publication : http://www.culture.gouv.fr/documentation/leonore/leonore.htm |
Décès d’une sœur | Caroline, Victorine, Adrienne, Louise MOUNIER 17 avril 1881 (Âge 69 ans) |
Décès de la mère | Wilhelmine « Mina » LIGHTONE 24 novembre 1881 (Âge 70 ans) Détails de la citation : V4E 3461 |
Mariage d’un enfant | baron Conrad Philippe Rodolphe PORTALIS — Geneviève Elisabeth Marie Jeanne MARTELET — Afficher cette famille 6 juin 1882 (Âge 70 ans) Détails de la citation : BMS Paris, registre V4E 3603 |
Décès d’une sœur | Wilhelmine MOUNIER 1883 (Âge 71 ans) |
Décès d’un fils | Etienne, Guillaume, Charles, comte PORTALIS 3 novembre 1884 (Âge 73 ans) Cause : Emporté par le fièvre typhoïde |
Domicile | 1891 (Âge 79 ans) Note : Décède à son domicile |
Décès | 30 mars 1891 (Âge 79 ans) Source : AD75 - BMS 9eme - Registre V4E 6257 |
Famille avec les parents |
père |
Naissance : 2 décembre 1784 26 22 — , Grenoble, 38000, Isère, FRANCE Décès : 11 mai 1843 — Passy, Paris, 75, Paris, FRANCE |
mère |
Naissance : 9 mai 1789 27 — , Wormditt, , , PRUSSE Décès : 24 novembre 1881 — 86 rue de Miromesnil, Paris, 75008, Paris, FRANCE |
Mariage : 11 mai 1810 — , Liegnitz, , , PRUSSE |
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17 mois elle |
Philippine, Renée, Adrienne MOUNIER Naissance : 11 octobre 1811 26 22 — , Paris, 75, Paris, FRANCE Décès : 30 mars 1891 — 21 rue Godot de Mauroy, Paris, 75009, Paris, FRANCE |
3 ans sœur plus jeune |
Victorine Louise Albertine MOUNIER Naissance : 22 septembre 1814 29 25 — , Paris, 75000, Seine, FRANCE Décès : 4 décembre 1860 — , Paris, 75008, Paris, FRANCE |
6 ans frère plus jeune |
Jean Joseph Philippe Louis Edouard MOUNIER Naissance : 30 octobre 1820 35 31 — , Paris, 75000, Seine, FRANCE Décès : 7 septembre 1895 — 118 Bd de Courcelles, Paris, 75017, Paris, FRANCE |
sœur |
Wilhelmine MOUNIER Décès : 1883 |
sœur plus jeune |
Naissance : 13 août 1823 38 34 — , Paris 16, 75016, Paris, FRANCE Décès : 17 avril 1881 — 29 rue Vernet, Paris, 75008, Paris, FRANCE |
Famille avec Frédéric, Etienne, Auguste, vicomte PORTALIS |
mari |
Naissance : 13 avril 1804 26 19 — Ambassade de France, Berlin, , , ALLEMAGNE Décès : 30 août 1846 — Passy, Paris, 75016, Paris, FRANCE |
elle |
Philippine, Renée, Adrienne MOUNIER Naissance : 11 octobre 1811 26 22 — , Paris, 75, Paris, FRANCE Décès : 30 mars 1891 — 21 rue Godot de Mauroy, Paris, 75009, Paris, FRANCE |
Mariage : 11 décembre 1828 — , Paris 16, 75016, Paris, FRANCE |
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10 mois fils |
Naissance : 21 octobre 1829 25 18 — Passy, Paris, 75016, Paris, FRANCE Décès : 3 novembre 1884 — , Tracy-sur-mer, 14117, Calvados, FRANCE |
2 ans fils |
Naissance : 27 mars 1832 27 20 — 8ème, Paris, 75008, Paris, FRANCE Décès : 5 septembre 1913 — , Bayeux, 14400, Calavados, FRANCE |
3 ans fille |
Naissance : 22 octobre 1834 30 23 — 8ème, Paris, 75008, Paris, FRANCE Décès : 3 janvier 1917 — , St Côme de Fresné, 14960, Calvados, FRANCE |
6 ans fils |
Naissance : 28 mai 1840 36 28 — Passy, Paris, 75016, Paris, FRANCE Décès : 2 avril 1917 — , Versailles, 78000, Yvelines, FRANCE |
Mariage | Fonds Coutot, relevé du mariage Portalis-Mounier Détails de la citation : Fonds 24 France 1800-1910 Texte : Le lieu n'est pas précisé.
La mention Comte Siméon peut elle désigner un des enfants de Joseph-Jérome ? |
Décès | AD75 - BMS 9eme - Registre V4E 6257 |
Domicile | Adresse lors de la vente d'une maison à Aix rue de l'Opéra |
Domicile | Décède à son domicile |
Note partagée | Souvenirs manuscrits d'Adrienne Mounier conservés aux Pradeaux, transcrits par Bruno Bizalion :
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En 1787 (en fait en 1791), Mme Portalis accoucha aux Pradeaux d'un fils, Marius, qui fut un grand malheur pour sa famille, sans autre défaut que de la légèreté et de la faiblesse. Il avait 20 ans à la mort de son père, et était officier dans un régiment de cavalerie. Il avait fait des dettes, souscrit des billets qu'il reconnut à peu près tous à sa majorité.
On paya ce qu'on put, vendant, se dépouillant sans pouvoir tout combler. C'est ainsi que disparut cette charmante propriété de Gennevilliers, dont Portalis, alors Ministre des Cultes, fit un jour cadeau à sa belle-fille ( Ina Holk. ndt ) Elle avait appartenu à Mme de Vaudreuil : Marie-Antoinette y était allée. On y voyait encore un bosquet où on lui avait servi une collation.
Mon beau-père (Joseph Marie Portalis) me racontait comment son frère avait eu à faire à d'horribles usuriers, ou débiteurs, dont l'un d'eux lui avait donné en paiement 12 douzaines de cercueils.
Le jeune Marius dut s'expatrier, changer de nom. Il resta 30 ans à l'étranger, s'appelant M. Etienne de la Palun. Il en est revenu deux ou trois fois, se cachant, ne sortant que le soir.
Je l'ai vu : il était fort bel homme, doux, aimable, aigri et malheureux. Nous avons son portrait peint à Genève par Henry Scheffer. Mon pauvre mari lui ressemblait étonnamment de figure. Le temps de son exil étant fini, il pouvait revenir sans crainte, et quittait Caracas où il était consul, lorsqu'au moment où il s'embarquait à La Guaira, il fut frappé d'apoplexie. Triste vie ! Triste fin ! Mais tout cela a été dit ailleurs et je me suis laissée maladroitement et inutilement entraîner bien loin des Pradeaux.
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Adrienne Mounier, vicomtesse Portalis, 1878 |
Note partagée | Souvenirs d'Adrienne MOUNIER, conservés aux Pradeaux, retranscrits par Bruno BIZALION :
.../...
Je voudrais conserver le peu que je sais de la famille de ma mère. On pourrait même dire, le peu qu'elle en sait elle-même. Son grand père, le Général Dessaunier (*) était d'origine Française, au service de la Prusse. Il avait fait la guerre de Sept Ans, avec le grand Frédéric, et ma mère conserve précieusement une pendule à rouage et sonnerie fort compliquée qui lui servait dans ses campagnes. Le Général Dessauniers est mort gouverneur de la forteresse de Glogau, en 1801. Sa veuve lui a survécu jusqu'en 1831.
Ils avaient eu trois enfants: deux filles et un fils.
Ce dernier, au service, naturellement, s'était fort richement marié dans la vieille Prusse.
Il avait eu un fils qui était fort jeune lors des cérémonies de 1815. Venu jusque sous les murs de Paris, ma mère espérait bien voir son cousin, sans que ce désir ait pu être réalisé. De retour chez sa grand-mère maternelle, près de Gunbingenn, ce malheureux jeune homme, en s'amusant sur un des étangs de la terre, s'est noyé.... et cela après avoir échappé à tous les dangers de la guerre.
Ma mère ne m'a rien dit de plus de son oncle, père de ce jeune Louis.
L'aînée des filles avait épousée un M. de Püstlitz Zu Gaus (de l'Oie, assez singulier nom pour nous). Il était bien né. Il parait que c'était un mauvais sujet. Sa femme était revenue chez ses parents avec une fille qui est morte de la poitrine encore jeune. Mme de Püstlitz s'appelait Albertine, et c'est à cause de cette grand-tante que ma sœur s'appelait Albertine.
Je ne sais pas le nom de baptême de la mère de ma mère. Elle avait épousé un officier irlandais au service de la Prusse Il s'appelait (Camille) Lightone, d'une très ancienne famille irlandaise que l'on disait remonter aux anciens rois d'Irlande. Ils ont eu trois filles. L'aînée Jenny était fort belle : Elle chantait et jouait de la harpe. La seconde, Julie était laide et se tenait à l'écart. La troisième était ma mère. Sa mère mourut en la mettant au monde. Les grands-parents prirent et gardèrent les trois pauvres petites filles. C'était en 1789.
Dans le trouble qui suivit sa naissance, on oublia de baptiser l'enfant. L'évêque de Vasen, passant à Wordstitt vint visiter cette famille désolée. Il s'informa de l'enfant, la baptisa en se faisant son parrain. " Je l'appelle Wilhelmine, dit-il, c'est le nom national "
Cette jolie petite fille blonde, aux yeux bleus, au teint magnifique fut élevée alors entre un grand-père qui l'adorait parce qu'elle lui rappelait sa fille, et sa grand-mère qui ne pouvait pas la voir parce qu'elle lui avait coûté sa fille. Il en résultait beaucoup de tiraillements, et, en résumé, l'enfant était fort gâtée.
Un soir, elle avait quatre ans, elle dormait dans son petit lit. Un homme se penche sur elle, la réveille en l'embrassant ; elle sent des larmes couler sur son visage, des moustaches lui caresser la joue.. c'était son père ! Elle ne l'a jamais revu depuis lors. Il partait. Ma mère n'a jamais su où il allait.
Ce récit m'a toujours extrêmement touchée
A ce même âge de quatre ans, ma mère se rappelait parfaitement l'émotion causée par la mort de Louis XVI (au fond de la Silésie) et comment sa grand-mère avait pris le deuil.
Je reviens aux deux sœurs aînées. En 1813 ou 1814, Jenny épousa le baron de Randow, veuf avec quatre enfants. Il habitait Rawitz, petite ville de Pologne, sur la frontière de la Silésie. Sa femme eut deux filles, puis elle mourut et le baron de Randow épousa sa belle-sœur Julie en troisième noces. Je crois qu'elle eut aussi deux filles. Que d'enfants ! un Alfred, un Henri, une Amalia, une Adelheit.... je ne me rappelle pas les autres noms.
Il y avait encore dans l'intérieur du général et de la Générale Dessauniers, une vieille Mme de Francheville qu'on appelait " ma tante " par courtoisie. Ma mère ne se rappelle pas du tout pourquoi et comment elle était là. Elle était belle-sœur d'un abbé de Francheville, qui vivait à la Cour de Prusse en même temps que Voltaire et se disait son ami. Thiébault en parle dans ses souvenirs de 20 ans, comme s'étant réveillé d'une léthargie quand on allait l'enterrer. Il était dans son cercueil entouré de cierges allumés.
En 1809, ma mère avait 20 ans. L'état dans lequel restait la Prusse après les victoires des Français la mettait au désespoir. Elle avait vécu à Glogau pendant le siège, couchant dans les casemates la nuit avec sa famille, allant aux hôpitaux le jour pour visiter les blessés en tâchant d'éviter les bombes. Puis Glogau dû se rendre. Elle vit les officiers et le gouverneur de la forteresse venir rendre leurs épées au général français. La ville fut frappée de la contribution de guerre.
Il fallait que chaque jour, une somme considérable (3000F je crois) fut apportée à l'administrateur français. Elle vit s'en aller peu à peu tout ce que contenait la maison. Quand il n'y eut plus d 'argent, on vendit les bijoux, la vieille argenterie de la famille. Il venait d'horribles juifs qui pesaient, payaient, emportaient. Tout à l'heure il ne restait plus rien, et la haine allait toujours grandissant. Le général Vandamme, entr'autres a laissé d'affreux souvenirs.
Un jour, on parle d'un jeune français chargé de l'administration de la Basse Silésie, qui depuis son arrivée n'avait pas voulu entendre parler des frais de table. "J'ai mes appointements ", disait-il, bientôt il ne fut plus question que de son désintéressement, de son humanité, de son zèle pour le bien de tous.
La jeune Mina eut curiosité et désir de connaître ce jeune français si différent des autres dont on disait tant de bien. il s'était fait présenter à plusieurs familles de la ville, et le fut enfin à la Générale Dessauniers. A ses premières visites, il fut frappé de l'éclat, de la beauté de l’aînée des trois sœurs. Bien peu après, il remarqua la petite Mina, s'occupa d'elle et ne tarda pas à lui vouer un amour qui ne finit qu'avec lui. Leur union fut bien vite décidée. Cette allemande, si malheureuse des malheurs de son pays, détestant les français et leurs conquêtes, épousait un français et allait vivre en France.
Mais, il fallait le consentement de l'Empereur. Mon père partit et le trouva à Compiègne. Il m'a raconté souvent qu'un des moments les plus pénibles de sa vie a été celui où il attendait dans une grande salle, précédant le cabinet de l'Empereur. Il m'a menée dans cette salle et me racontait ces détails encore avec une vive émotion ; Le consentement fut donné, mais pas sans peine. " Une Allemande ! Une Prussienne ! " répétait l'Empereur avec impatience; " N'y a-t-il donc pas assez de françaises ! ".
Mon père retourna en toute hâte à Glogau, mais par une circonstance que j'ai oubliée, le mariage se fit dans la petite ville de Lignitz. L'Empereur avait donné si peu de temps qu'on dut repartir le jour même. Les voyages étaient longs alors !
Mes parents se marièrent le 11 Mai 1810. Par une fatalité touchante, mon père mourut le 11 Mai 1843. Jamais union ne fut plus tendre et plus heureuse, et ne laissa des regrets plus vifs et plus durables.
.../...
Adrienne Mounier, vicomtesse Portalis - 1878
(*) Jean Antoine von Dessaunieres né le 3 Aout 1731 en Alsace épouse en 1760 Jeannette Claire du Fresne de Francheville (Bruxelles 3 avril 1742, Glogau 29 mars 1830) Lieutenant en 1754, Capitaine dans le bataillon de Jeney en 1761, major en 1781, général chef de bataillon de fusilliers en 1789, général major et commandant de la place de Glogau de 1790 à 1795.
Source annuaire militaire allemand |